
Alexandre Pereira Diogo, champion régional des Worldskills en aménagement urbain et canalisation
Alexandre Pereira Diogo, champion régional des Worldskills en aménagement urbain et canalisation
Ce qui t’a incité à participer à la compétition Worldskills ?
J’ai participé à la compétition, grâce à un professeur qui m’a proposé car je ne connaissais pas du tout cette compétition. Ainsi qu’à mon binôme qui était une source de motivation dans l’idée de réussite de cette compétition.
La Compétition WorldSkills pour toi c’est quoi ?
La compétition Worldskills, pour moi, permet aux personnes et participants de pouvoir se donner des objectifs, de se surpasser et de surtout voir leur capacité au niveau de leur métier.
Ce que cette compétition t’a apporté ?
Cette compétition m’a apporté une très belle expérience aussi bien personnelle, que collective, grâce à mon binôme.
Les particularités de la compétition en binôme ?
La compétition en binôme pour moi, cela peut être quitte ou double car il faut une très bonne cohésion, un très bon état d’esprit, ainsi qu’une grande communication entre les deux pour que le travail demandé soit réalisé correctement et qu’aucun des deux n’aie de regrets que ce soit personnel ou collectif. Le fait que le résultat dépend aussi de quelqu’un d’autre nous oblige à améliorer ces points étant donné notre secteur d’activité, ces points sont primordiaux pour nous.
Quel est ton objectif dans la compétition ?
Mon objectif régional était seulement de donner le meilleur de moi-même et voir jusqu’où nous pouvions arriver. Mon objectif au national est de faire un podium.
Qui t’inspire ? As-tu un modèle professionnel ?
Mon modèle professionnel est mon père.
Pourquoi ou comment as-tu choisi ce métier ?
J’ai choisi ce métier, car étant plus jeune j’allais au chantier avec mon père, et c’est quelque chose qui m’a passionné dès le plus jeune âge et qui est resté au fil du temps.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est que les tâches diffèrent tous les jours et c’est le travail en groupe et la réflexion qu’il y a derrière chaque chantier.
Quel est ton état d’esprit quelques semaines avant les finales nationales ?
J’avoue ne pas être très motivé, car nous n’avons pas pu nous entraîner, nous ne pourrons que fin septembre. Ce qui ne laisse pas une très grande marge avant la finale.